La mort, bien qu’omniprésente dans nos vies, reste un sujet sensible en France, souvent difficile à aborder. Chargée d’émotion et tenue à distance, elle reste entourée de nombreuses méconnaissances. Ce tabou profondément ancré dans la culture occidentale entrave toute expression, qu’elle soit individuelle ou collective.

Ce mémoire de fin d'études cherche à mieux comprendre la relation complexe que nous entretenons avec cette réalité universelle. En s’appuyant sur l’étude de l’iconographie funéraire française, cette recherche met en lumière une certaine résistance au changement, reflet d’une vision traditionnelle et figée sur ce sujet.

Peu à peu, de nouvelles façons de penser et de vivre la mort apparaissent. L’objectif de ce travail est donc de comprendre ce que ces changements impliquent : en quoi ils influencent notre quotidien et que disent-ils de notre rapport à la mort dans un monde en constante évolution.